Action des supporters nantais - 14 et 15 février 2009
Acte I : Prémisse mineur : le siège de FC Nantes Plus à Paris.
Acte II : prémisse majeur : siège de FLAVA GROUPE, rue Napoléon à Uccle :
Acte III : conclusion : au stade Lecointre, le dimanche après midi lors de Nantes / Vertou (CFA2).
Enfin, pour finir, le tract qui a été distribué à Lecointre
"L’avenir du centre de formation passe par Laurent Guyot
Fraîchement débarqué à La Jonelière, Kita déclare en août 2007 : « Personne dans le Club n'est aujourd'hui capable de prendre la formation en main. Il n'y a aussi personne dans la région. ». Première marque d’irrespect qui lui permet de justifier la nomination, au-dessus de Laurent Guyot, de Christian Larièpe avec lequel il a déjà travaillé au Lausanne Sports pour la réussite que l’on sait…
Volontairement blessant, Kita qualifie Laurent Guyot de « brave garçon » puis, récemment, il le dénigre ouvertement : « il n’y a pas besoin d’être un grand entraîneur pour remonter la CFA2. »
Jamais les nouveaux dirigeants du club n’ont dénié vanter les mérites de Laurent Guyot. Ils n’auront au contraire de cesse de minimiser la qualité du travail fourni depuis le départ de Guy Hillion et le douloureux limogeage de Raynald Denoueix.
Aujourd’hui, de par leurs prestations collectives et au travers de leurs résultats, les équipes de jeunes démontrent pourtant la qualité de la détection et de l’enseignement prodigué ces dernières années au centre José Arribas. Elles prouvent aussi chaque week-end que le jeu, symbole du FC Nantes auquel nous sommes tant attachés, a encore de nouvelles belles pages à écrire.
Sous la direction de Laurent Guyot, avec tous les éducateurs et les concours de Vincent Bracigliano puis de Mathieu Bideau, le centre de formation du FC Nantes est à nouveau porteur d’espoir. Depuis la réduction des effectifs, il est aussi bien moins coûteux que se plaisent à le dire messieurs Kita et Larièpe, tout en le qualifiant insidieusement de « garderie » ou de « coquille vide .» La signature cet été d’un premier contrat professionnel pour sept jeunes joueurs du centre démontre toute sa vitalité.
Notre banderole « Formateurs, tenez bon ! » a été censurée à La Beaujoire lors de la venue du Paris SG. Nous comptons continuer à nous exprimer malgré tout et montrer notre soutien à Laurent Guyot et aux entraîneurs du centre qui seront tous en fin de contrat au mois de juin et qui ne savent toujours pas si leur avenir s’écrira encore en Jaune. Ils sont tous les garants de la pérennité de l’enseignement du football que Coco Suaudeau et Raynald Denoueix leur ont appris. A travers eux, c’est l’identité du FC Nantes que nous défendons.
Mais à lire les déclarations de Christian Larièpe, alors responsable du centre de formation de Lausanne - La seule solution pour tenir un budget, c’était de la jouer malin, de relancer des joueurs, de les faire briller et de les revendre -, nous pressentons trop les objectifs de la direction du club et nous frémissons à l’idée qu’une telle politique gangrène très prochainement le centre de formation. Car il ne saurait être exclusivement un « business ». A Nantes, il est avant tout l’expression d’une identité de jeu.
Kita et Larièpe ne sont que de passage. Le président du FC Nantes ne s’en est d’ailleurs pas caché auprès d’un journaliste de la presse sportive locale parti exercer dans la capitale : « Tu as bien fait de venir à Paris et partir de Nantes. C’est une ville de province où l’on s’ennuie. Le club, la ville, la mairie, tout ça ne me va pas. Mon ambition est de pouvoir racheter le P SG. »
Nous demandons donc à la direction de club de prolonger les contrats de Laurent Guyot et de tous les formateurs du club. Nous ne voulons pas d’un directeur du centre corvéable à merci. Nous espérons que la Mairie de Nantes ne restera pas insensible à notre requête. Tout comme nous demandons à Monsieur Elie Baup de se joindre à la voix de son capitaine Frédéric Da Rocha qui a vanté récemment le professionnalisme, l’intégrité et les convictions de Laurent Guyot.
Supporters du FC Nantes"
Acte II : prémisse majeur : siège de FLAVA GROUPE, rue Napoléon à Uccle :
Acte III : conclusion : au stade Lecointre, le dimanche après midi lors de Nantes / Vertou (CFA2).
Enfin, pour finir, le tract qui a été distribué à Lecointre
"L’avenir du centre de formation passe par Laurent Guyot
Fraîchement débarqué à La Jonelière, Kita déclare en août 2007 : « Personne dans le Club n'est aujourd'hui capable de prendre la formation en main. Il n'y a aussi personne dans la région. ». Première marque d’irrespect qui lui permet de justifier la nomination, au-dessus de Laurent Guyot, de Christian Larièpe avec lequel il a déjà travaillé au Lausanne Sports pour la réussite que l’on sait…
Volontairement blessant, Kita qualifie Laurent Guyot de « brave garçon » puis, récemment, il le dénigre ouvertement : « il n’y a pas besoin d’être un grand entraîneur pour remonter la CFA2. »
Jamais les nouveaux dirigeants du club n’ont dénié vanter les mérites de Laurent Guyot. Ils n’auront au contraire de cesse de minimiser la qualité du travail fourni depuis le départ de Guy Hillion et le douloureux limogeage de Raynald Denoueix.
Aujourd’hui, de par leurs prestations collectives et au travers de leurs résultats, les équipes de jeunes démontrent pourtant la qualité de la détection et de l’enseignement prodigué ces dernières années au centre José Arribas. Elles prouvent aussi chaque week-end que le jeu, symbole du FC Nantes auquel nous sommes tant attachés, a encore de nouvelles belles pages à écrire.
Sous la direction de Laurent Guyot, avec tous les éducateurs et les concours de Vincent Bracigliano puis de Mathieu Bideau, le centre de formation du FC Nantes est à nouveau porteur d’espoir. Depuis la réduction des effectifs, il est aussi bien moins coûteux que se plaisent à le dire messieurs Kita et Larièpe, tout en le qualifiant insidieusement de « garderie » ou de « coquille vide .» La signature cet été d’un premier contrat professionnel pour sept jeunes joueurs du centre démontre toute sa vitalité.
Notre banderole « Formateurs, tenez bon ! » a été censurée à La Beaujoire lors de la venue du Paris SG. Nous comptons continuer à nous exprimer malgré tout et montrer notre soutien à Laurent Guyot et aux entraîneurs du centre qui seront tous en fin de contrat au mois de juin et qui ne savent toujours pas si leur avenir s’écrira encore en Jaune. Ils sont tous les garants de la pérennité de l’enseignement du football que Coco Suaudeau et Raynald Denoueix leur ont appris. A travers eux, c’est l’identité du FC Nantes que nous défendons.
Mais à lire les déclarations de Christian Larièpe, alors responsable du centre de formation de Lausanne - La seule solution pour tenir un budget, c’était de la jouer malin, de relancer des joueurs, de les faire briller et de les revendre -, nous pressentons trop les objectifs de la direction du club et nous frémissons à l’idée qu’une telle politique gangrène très prochainement le centre de formation. Car il ne saurait être exclusivement un « business ». A Nantes, il est avant tout l’expression d’une identité de jeu.
Kita et Larièpe ne sont que de passage. Le président du FC Nantes ne s’en est d’ailleurs pas caché auprès d’un journaliste de la presse sportive locale parti exercer dans la capitale : « Tu as bien fait de venir à Paris et partir de Nantes. C’est une ville de province où l’on s’ennuie. Le club, la ville, la mairie, tout ça ne me va pas. Mon ambition est de pouvoir racheter le P SG. »
Nous demandons donc à la direction de club de prolonger les contrats de Laurent Guyot et de tous les formateurs du club. Nous ne voulons pas d’un directeur du centre corvéable à merci. Nous espérons que la Mairie de Nantes ne restera pas insensible à notre requête. Tout comme nous demandons à Monsieur Elie Baup de se joindre à la voix de son capitaine Frédéric Da Rocha qui a vanté récemment le professionnalisme, l’intégrité et les convictions de Laurent Guyot.
Supporters du FC Nantes"